"Je vous aime", écrit Stéphane Plaza. Trois mois et demi après la publication,le 21 septembre dernier par "Mediapart", de témoignages de trois de ses anciennes compagnes l'accusant de violences psychologiques et physiques – deux ont depuis déposé plainte pour violences conjugales – l'animateur de M6, qui nie tout en bloc, a publié, ce lundi 1er janvier 2024 sur Instagram, un message à l'attention de ses 644.000 abonnés.
"Ma mort présumée"
"Je pensais que l'année où Maman s'était envolée vers les cieux, aurait été l'unique année éprouvante de ma vie. Malheureusement, 2023 le fut aussi ! Mon image salie à vie, me définissant comme un monstre et ma mort présumée. Ça fait beaucoup pour retrouver le sourire. À peine sorti de l'oeil du cyclone, une tempête renaît ! Et quand elle disparaît, elle laisse derrière elle un temps orageux. Malgré cela, je reste le même, un homme aimant, respectueux, et toujours engagé contre la cause qu'il défend. Le meilleur est à venir. Un chapitre se clôture et un nouveau livre s'ouvre à vous !", écrit l'animateur de "Maison à vendre" sur M6.
"Je vous souhaite à tous une très Belle Année 2024. Continuez vos rêves, vos projets de vie. Prenez soin de vos proches, continuez à leur dire que vous les aimez sans pudeur. Vivez comme si c'était le dernier jour en faisant attention à votre santé. La santé est comme une charpente de maison, prenez-en soin. Ce soir n'oubliez pas vos sous-vêtements couleur rouge et demain mangez des lentilles", poursuit-il.
En décembre dernier, c'est déjà via le réseau social Instagram, que l'agent immobilier le plus célèbre de France avait brisé le silence. "Je tenais à vous remercier. Votre amour m'aide chaque jour", avait-il écrit à ses soutiens, avant de leur demander "d'attendre, comme je le fais, que justice soit faite pour laver mon honneur". "J'ai la conscience tranquille (...) Je continue et continuerai de défendre la cause des femmes. Je reste droit et debout et me concentre sur mon travail pour continuer à vous aider et à vous apporter du bonheur !", assurait-il bien que son "sourire (soit) devenu rare".