Par Florian Guadalupe Journaliste
Passionné de sport, de politique et des nouveaux médias, Florian Guadalupe est journaliste pour Puremédias depuis octobre 2015. Ses goûts pour le petit écran sont très divers, de "Quelle époque" à "L'heure des pros", en passant par "C ce soir", "Koh-Lanta", "L'équipe du soir" et "La France a un incroyable talent".
Invitée de "Vivement dimanche" sur France 3, la présentatrice a annoncé la date de l'arrêt de sa quotidienne sur France 5.

Un arrêt après plus d'un quart de siècle sur la cinquième chaîne. Ce dimanche 24 mars 2024, Marina Carrère d'Encausse a été reçue sur les canapés rouges de Michel Drucker dans "Vivement dimanche" sur France 3. D'entrée, la présentatrice a évoqué la fin de sa quotidienne, "Le magazine de la santé", diffusée sur France 5.

"Un arrêt après 26 ans de bons et loyaux services"

Après l'avoir escortée à son canapé, le présentateur de France 3 lui a lancé : "Je ne peux pas croire que ça s'arrête !". "Si !", a-t-elle répondu. "'Le magazine de la santé' s'arrête en juin ?", a demandé Michel Drucker. "Je n'y crois pas non plus... Mais c'est la réalité. Le 31 mai, nous arrêtons l'émission", a révélé Marina Carrère d'Encausse. Et de glisser : "Un arrêt après 26 ans de bons et loyaux services". puremedias.com vous propose de visionner la séquence.

Cette information avait été révélée fin octobre 2023 par Europe 1. Ce dernier avait expliqué la fin du programme en raison de sa société de production 17 Juin Média, rattachée à Newen France, elle-même filiale du groupe TF1. Le 25 janvier 2024, sur Europe 1, Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymès, duo historique du format, avaient plaidé pour le maintien d'une émission dédiée à la santé sur France 5.

"On a relayé des milliers de campagnes publiques qui auraient coûté une fortune"

"Je suis très touchée par tous ces professionnels et notamment tous ces médecins qu'on a reçus depuis 25 ans, qui se sont investis et qui croient à l'importance d'une émission de santé sur le service public", avait déclaré la docteure. "On va se battre pour qu'il y ait de la santé à la télévision. Parce que nous, en 25 ans, on a relayé des milliers et des milliers de campagnes publiques qui auraient coûté une fortune si on avait dû acheter de l'espace pour les faire", avait poursuivi Michel Cymès.