Par Guillaume Faivre Journaliste
Lorsque Guillaume Faivre est devant son petit écran, c’est pour regarder “Fort Boyard”, son émission fétiche. Lorsqu’il est devant son écran de téléphone, c’est pour voir “Lupin”, sa série préférée. Lorsqu’il est devant son écran d’ordi, le dimanche, c’est pour écrire des articles pour Puremédias.
Le journaliste sportif de France Télévisions a été très touché, hier soir, par la lettre de l'humoriste du talk-show de France 2.

Un moment extrêmement émouvant. Léa Salamé et ses complices accueillaient, samedi 6 avril dans "Quelle époque", le présentateur Denis Brogniart, le Président du Comité d'Organisation des Jeux Olympiques & Paralympiques de Paris 2024 Tony Estanguet, la journaliste Raphaelle Bacqué, l'animatrice Veronika Loubry, le plongeur Alexis Jandard et la queen du rap queer Piche.

Une lettre bouleversante

Également invité dans le talk-show incontournable de France 2, Matthieu Lartot, qui a été obligé de se faire amputer au niveau de la jambe après un cancer du genou droit l'an dernier, a eu droit à la séquence de la lettre de Charlotte Dhenaux. Cette dernière a alors déclaré : "Je suis une brêle en sport. Je n'y connais vraiment rien. Mais pour apprendre de toi, je te veux quotidien. Tu me distilleras les bonnes phrases à penser, pour les matches qu'on préférerait ne pas disputer."

Face à Léa Salamé et Christophe Dechavanne, invité permanent de l'émission, l'humoriste a poursuivi : "Journaliste sportif et joueur de rugby, à boire ou de mêlée, tu apprécies les demis. L'énergie de ta voix accompagne les exploits. Mais ta pudeur niera ta performance à toi. A t'observer parler, on a presque l'impression que tu t'es juste remis d'une banale infection. On pourrait même croire en marchant à tes côtés que tu as toujours au bout des jambes des deux souliers."

Avant de continuer, sur le plateau de France 2, à s'adresser à Matthieu Lartot: "Toi tu lui as pété la gueule à ce gros crabe. C'est bien fait pour lui, il ne fallait pas demander de rab. J'espère au moins qu'il a retenu la leçon. Ça lui apprendra à quémander une rançon. Tu l'as écrit dans ton livre en guise de manuel : "être combatif, ce n'est pas refuser de voir le réel". Car ce qu'on pense être le plus moche dans une vie sublime ceux qui ont foi en ta philosophie."

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Et Charlotte Dhenaux de conclure sa lettre à celui qui est le commentateur des matches de l'équipe de France de rugby à XV : "Tu voulais pour la coupe du monde être sur pieds. Alors tu t'es levé pour un "A vous, Cognacq-Jay. Je te rêve en maître de stage, t'es un killer. Je ferai un bon rapport qui n'amputera pas le coeur."

Puremédias vous propose de voir cette séquence.

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