Par Guillaume Faivre Journaliste
Lorsque Guillaume Faivre est devant son petit écran, c’est pour regarder “Fort Boyard”, son émission fétiche. Lorsqu’il est devant son écran de téléphone, c’est pour voir “Lupin”, sa série préférée. Lorsqu’il est devant son écran d’ordi, le dimanche, c’est pour écrire des articles pour Puremédias.
L'essayiste et réalisatrice a eu un accrochage, hier soir sur France 2, avec celui qui est l'invité permanent du talk-show présenté par Léa Salamé.

Un échange tendu. Pour ce nouveau numéro de "Quelle époque", Léa Salamé et sa bande recevaient, samedi 21 octobre sur France 2, l'ancien président de la République française François Hollande, l'animateur télé et radio Eric Brunet, l'homme d'affaires Matthieu Pigasse, l'éditorialiste Nathalie Saint-Cricq, ou encore le docteur en sciences politiques Hugo Micheron.

"Pardon, je suis désolé"

Venue faire la promotion d'un hors-série sur les fake news, Caroline Fourest, directrice de la rédaction du magazine "Franc-Tireur", s'est bien entendu exprimée sur l'attaque du mouvement islamiste palestinien contre Israël qui a fait des milliers de morts.

"Sur les attentats qui nous ont frappés, vous avez une gauche qui dit "crime de guerre" parce qu'ils considèrent que le Hamas est dans son droit légitime de se battre par tous les moyens contre une occupation israélienne. Obono (la député Danièle Obono, ndlr) a dit "occupation". Il n'y a pas un soldat israelien dans la bande de Gaza depuis 2005", a-t-elle déclaré face à ses intervieweurs.

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"On ne va pas y arriver"

Coupée par Christophe Dechavanne dans son explication, Caroline Fourest n'a pas manqué de montrer son agacement : "Laissez-moi juste finir la phrase, bordel !". La journaliste, figure médiatique incontournable des années 2000 et auteure de nombreux essais sur l'extrême droite et le fanatisme, a poursuivi aussitôt : "Je finis juste cette phrase... Si vous ne me laissez pas finir la phrase, on ne va pas y arriver". "Pardon, je suis désolé", a alors conclu l'ancien présentateur de "Ciel mon mardi!" et "Coucou c'est nous!". Puremédias vous propose de découvrir cette séquence.

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