Par Guillaume Faivre Journaliste
Lorsque Guillaume Faivre est devant son petit écran, c’est pour regarder “Fort Boyard”, son émission fétiche. Lorsqu’il est devant son écran de téléphone, c’est pour voir “Lupin”, sa série préférée. Lorsqu’il est devant son écran d’ordi, le dimanche, c’est pour écrire des articles pour Puremédias.
Le journaliste de la Une, invité du programme "On refait la télé" sur RTL hier, n'a pas hésité à s'exprimer sur son salaire.

Une question particulièrement "cash". Pour promouvoir la matinale "Bonjour !" qu'il présente quotidiennement depuis janvier dernier sur TF1, Bruce Toussaint est intervenu dans "On refait la télé", samedi 13 avril, sur RTL.

"La presse a beaucoup fantasmé sur votre salaire"

Lors de cet échange, Eric Dussart, le co-animateur de l'émission radio, lui a demandé : "La presse a beaucoup fantasmé sur votre salaire pour expliquer votre transfert de BFMTV à TF1, évoquant des sommes assez mirobolantes, expliquant même que vous gagnez plus que Gilles Bouleau ou Anne-Claire Coudray. C'est vrai ou pas ?".

Avec beaucoup d'humour, le matinalier, qui est passé au cours de sa carrière par Canal Plus, franceinfo ou BFMTV, a répondu : "Alors j'en parlais encore avec le chauffeur de ma Rolls qui m'a déposé devant RTL. C'est important de vous dire les choses... Parce qu'on arrivait de l'avenue Montaigne où on avait fait quelques achats chez des grandes maisons".

Reprenant rapidement son sérieux, Bruce Toussaint a tenu à faire savoir aux auditeurs : "C'est faux ! Non seulement c'est faux, mais c'est tellement éloigné de la vérité. Je ne sais plus très bien ce qui avait été dit... Mais je crois que...". Avant d'être interrompu par Eric Dussart qui a précisé volontiers : "Ils ont sorti 45 000 euros par mois".

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Sur l'antenne de RTL et bien décidé à jouer la carte de la franchise, le présentateur de télévision de 50 ans a surenchéri : "Même la moitié est encore très très loin de la vérité. Donc sur le coup, ça m'a un peu embêté parce que c'est tellement fantaisiste, farfelu et probablement malveillant que voilà... Mais après, j'ai considéré que ça faisait partie des risques du métier, ce genre de fake-news."

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